Égocentrisme ? Réussite ? Richesse ? Ou peut être la gloire ? Je ne peux toujours pas expliquer pourquoi est ce que les homos sapiens, censés être le résultat d’une longue lignée d’adaptation et d’évolution, en soient arrivés a ce qu’ils sont aujourd’hui, de misérables esclaves de l’esprit du temps. Il est piteux que de voir à quoi vous en êtes arrivés, vous, créatures de Dieu, censées être disciples de sa majesté, l’incarnation de la bonté, et la personnification de la charité.
Que pourrait signifier la fortune, comparée au bien-être, le renom, devant l’amour, le statut social mesuré au confort physique et moral que procure la compagnie familiale. C’est encore plus lamentable quand on voit le nombre d’entre vous, misérables mortels, qui seraient prêt à vendre leur bien-être, à troquer tout l’amour du monde contre la célébrité, ou à échanger père et mère pour un poste de directeur. Il est désolant de vous voir, vous, animaux, prêts à décimer des races entières, pour quelque pièces d’argents, décidés à éliminer tout ceux qui se mettront au travers de votre route, ou qui par malheur traverseraient durant votre passage.
Vous traiter de toutes les insultes, ne pourrait montrer toute la haine que je ressens envers vous, tous vous enfermer, ne pourrait combler le désir de châtiment enfoui en moi, vous rééduquer un à un, nécessiterait l’éternité entière, devenir comme vous, signifierait pour moi la fin, m’isoler de vous n’est guère possible. La meilleure issue me semble être l’échappatoire passive qu’est de vous laisser faire ce que vous savez faire de mieux ; Vous entre-tuer.
Un pas en arrière, deux pas en arrière, se dressant entre nous une barrière, me protégeant de toute cette bonté mensongère, je reste loin, très loin, de votre calvaire.
Que pourrait signifier la fortune, comparée au bien-être, le renom, devant l’amour, le statut social mesuré au confort physique et moral que procure la compagnie familiale. C’est encore plus lamentable quand on voit le nombre d’entre vous, misérables mortels, qui seraient prêt à vendre leur bien-être, à troquer tout l’amour du monde contre la célébrité, ou à échanger père et mère pour un poste de directeur. Il est désolant de vous voir, vous, animaux, prêts à décimer des races entières, pour quelque pièces d’argents, décidés à éliminer tout ceux qui se mettront au travers de votre route, ou qui par malheur traverseraient durant votre passage.
Vous traiter de toutes les insultes, ne pourrait montrer toute la haine que je ressens envers vous, tous vous enfermer, ne pourrait combler le désir de châtiment enfoui en moi, vous rééduquer un à un, nécessiterait l’éternité entière, devenir comme vous, signifierait pour moi la fin, m’isoler de vous n’est guère possible. La meilleure issue me semble être l’échappatoire passive qu’est de vous laisser faire ce que vous savez faire de mieux ; Vous entre-tuer.
Un pas en arrière, deux pas en arrière, se dressant entre nous une barrière, me protégeant de toute cette bonté mensongère, je reste loin, très loin, de votre calvaire.
Lejain.
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